Nouvelle année, nouveau challenge ! Après une première année de régates à bord du Solano, nous développons nos horizons en participant à la 69F, course de foilers. Découvrez aujourd’hui le portrait de Francesco, l’un de nos 3 skippers pour cette compétition.

© Sailing Energy / 69F media

Le portrait de Francesco Sabatini :

Aujourd’hui à presque 30 ans, Francesco vit à Lausanne où il effectue un master en administration et technologie du sport à l’AISTS. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, la voile a toujours fait partie de sa vie. Après avoir participé à plusieurs événements avec l’équipe nationale italienne, Francesco a interrompu sa carrière de coureur pour travailler sur de plus gros bateaux, dans différents rôles.

Fin prêt pour la 69F, il est en charge du réglage de la grand-voile. « C’est comparable à l’accélérateur, j’ai un contrôle total sur la vitesse. Avec Edoardo, le barreur, et Alberto, le contrôleur de vol, nous communiquons pour que tout soit plus efficace ».

© Sailing Energy / 69F media

La voile :

La voile faisant partie de sa vie depuis toujours, ses premiers souvenirs en mer viennent de ses parents. « Les premiers souvenirs que j’ai sont ceux où, avec mes parents pendant l’été, nous louions un bateau pour partir en croisière. Mes parents m’ont transmis cette passion, et j’ai continué. Le bateau qui m’est le plus resté aujourd’hui et sur lequel je reviendrais bien faire un tour est sans conteste le 49er. Un bateau sur lequel j’ai été bowman (celui qui doit changer les voiles d’avant et monter au mât) pendant trois ans ».


S’il devait citer un navigateur qui l’a marqué, ce serait Ben Ainslie. « Jusqu’à présent, le meilleur marin olympique, avec quatre médailles d’or, une médaille de bronze et quatre America’s Cup. Mais plus encore, il est le fondateur de plusieurs organisations caritatives ».
Quand on lui demande s’il redoute certaines zones de navigation, Francesco est sûr de lui « Avec le temps, j’ai appris à connaître la mer et à ne pas la sous-estimer. J’ai envie de dire qu’à ce jour, ce ne sont pas des choses que je crains vraiment ».


La réussite d’une régate dépend d’un grand nombre de paramètres, mais il faut commencer à terre. La connaissance de la météo et des adversaires est indispensable « Plus de 60 % de la course est donnée par le départ et les premières fermetures. Ensuite, la course est à peu près tracée ».

La 69 F :

L’année sera très intéressante, car elle suit les Jeux olympiques, ainsi que l’America’s Cup. De nombreux skippers seront disponibles pour s’essayer à la 69F. « Le niveau sera très élevé aussi parce qu’il n’y a pas d’autres bateaux à foil avec ces caractéristiques propices pour les foilers. Je n’ai pas de crainte. Je suis juste impatient de commencer et de voir où cette nouvelle aventure va nous mener. Mais je suis sûr qu’en naviguant sur la 69F avec Solano, tout sera positif ».

Vous pouvez suivre Franscesco à bord du Persico 69F sur nos réseaux sociaux, et ainsi connaître le classement !

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